INTRODUCTION

Platon, le célèbre philosophe grec, croyait que l'univers reposait sur  un ordre transcendant et parfait. Pour lui, la géométrie représentait le summum de cette divine perfection. Les formes géométriques fondamentales, tels les cinq polyèdres réguliers, se voulaient le reflet immanent de cette réalité mystérieuse sous-jacente.  
 

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La mythologie évoque, quant à elle, les légendes de la Femme Araignée, divinité tribale, ancestrale, créatrice du monde, qui depuis l'origine des temps tisse inlassablement sa toile vibrante ainsi que la multitude des êtres vivants qui y sont amenés à l'existence.

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Porteuse d’un langage à la fois mathématique et archétypique, la géométrie pourrait se révéler l’un des grands principes fondateurs de l'univers.

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D’un bout à l’autre de la création, des formations géométriques relativement complexes apparaissent spontanément.

Dans le microcosme, les figures géométriques sont partout présentes et président à la formation des liens moléculaires.

Dans le seul rayon accessible au regard humain, un nombre inimaginable de minéraux, de fleurs, d’insectes et de virus vont afficher, et ce, avec beaucoup d'originalité et d'élégance, des traits propres à une géométrie très complexe.   

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Theoria Omnia entrevoit un univers géométrique, ou devrais-je dire, un univers traversé de part en part par un champ de force subtil 
capable de géométriser l'espace.

  

S'il se présente en premier lieu comme un réservoir de potentialités infinies, ce champ pourrait bien être l'épine dorsale de la création… c’est-à-dire, ce sur quoi tous les autres systèmes vont s'appuyer pour se développer.

La théorie présentée ici même sur ce blog repose sur
 une structure géométrique très particulière.

 

Une seule équation permet d'en étayer l'architecture, et 
un simple code permet d'en exploiter facilement tout le potentiel.

 

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